Bleu de méthylène (précurseur de la chloroquine) : un remède oublié, un nouvel espoir pour le cancer, la dépression, les maladies infectieuses, les dépressions, les troubles anxieux, les pertes de mémoires, la schizophrénie, les troubles post-traumatiques, Alzheimer, les aphtes, les angines, l'herpès, les troubles bipolaires, les démences précoces, le Covid-19 ...
Dr Schwartz et Marion Kaplan - Le cancer maladie métabolique
Suivez-les dans ce voyage captivant à travers la science, l'histoire et la médecine, et découvrez comment le passé laisse espérer de nouvelles victoires dans la lutte contre le cancer.
https://www.youtube.com/watch?v=Ra050tLl2Kc
« Cet aliment vous dévore ! » – La cause profonde du cancer et une nouvelle approche pour l’affamer | Dr Thomas Seyfried
https://www.sante-nutrition.org/cet-aliment-vous-devore-la-cause-profonde-du-cancer-et-une-nouvelle-approche-pour-laffamer-dr-thomas-seyfried/
EXTRAITS DU LIVRE du DOCTEUR SCHWARZ
Diminuer le risque d'être atteint d'un cancer
...... Et de ne pas être obsédé par cette question
A ce jour, la prévention idéale n'existe pas !
Dr Laurent Schwartz - cancérologue, auteur des "clés du cancer"
Nous creusons notre tombe avec nos dents
La qualité et la quantité des aliments que nous ingérons, la qualité de l'eau que nous buvons, de l'air que nous respirons jouent un rôle crucial sur notre santé, mais également sur le processus de guérison.
Le bleu de méthylène et cancer
Le cancer est lié à une fermentation.
Inventé à l'origine comme colorant bleu au XIXe siècle pour l'industrie textile, le bleu de méthylène est très vite reconnu pour son action anti-infectieuse - antibiotique (cystites) - antiparasitaire (paludisme). Avant la 1ère guerre mondiale il constitue le traitement de référence contre le paludisme et la lèpre. A partir des années 1930, les 1ers antidépresseurs dérivent chimiquement du Bdm. Dans les années 2000 la recherche médicale renoue avec cette molécule et sa capacité à stimuler l'activité des mitochondries.
Comme beaucoup d'autres pathologies connues, le cancer est une maladie du métabolisme liée à un dysfonctionnement des mitochondries. Or le Bdm peut cibler sélectivement les cellules dont le métabolisme est dysfonctionnel.
Article L.1111-4 du code de la santé publique, qui dispose que "toute personne prend" avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des préconisations qu'il lui fournit, les décisions concernant sa santé. Toute personne a le droit de refuser ou de ne pas recevoir un traitement.
A partir des années 1940, la chimiothérapie s'est imposée dans la lutte contre le cancer.
Sur les pas d'Otto Warburg
C'est en 1920 qu'il fait sa découverte la plus célèbre et comprend que le cancer est une maladie métabolique. Il comprend que la cellule cancéreuse ne peut pas brûler le glucose (sucre) même en présence d'oxygène. La cellule normale brûle le glucose pour le transformer en CO2, en eau et en ATP (l'énergie dont il a besoin pour fonctionner). La cellule cancéreuse, pour sa part, se limite à décomposer la molécule de glucose en deux molécules d'acide lactique. Faute de pouvoir brûler le glucose, elle passe à un mécanisme moins efficace : la fermentation. C’est ce qu'on appelle" l'effet Warburg". L'énergie extraite d'une molécule de glucose diminue nettement. Pour compenser, les cellules cancéreuses ouvrent leurs portes à plus de glucose. Le scientifique parle alors d'une glycolyse anaérobie accrue. En moyenne, une cellule cancéreuse consomme dix fois plus de glucose que les cellules normales.
Otto Warburg écrit en 1956 : Pour résumer en quelques mots, la cause première du cancer est le remplacement de la respiration de l'oxygène dans les cellules normales du corps par une fermentation de sucre. Toutes les cellules normales du corps satisfont leurs besoins énergétiques par la respiration d'oxygène, tandis que les cellules cancéreuses satisfont en grande partie leurs besoins énergétiques par la fermentation.
La cellule normale peut soit brûler le glucose (et produire 36 molécules d'ATP), soit fermenter (et ne produire que 2 molécules d'ATP). le cancer, c'est le blocage en mode fermentation (effet warburg). La cellule ne peut brûler le pyruvate qu'elle rejette sous forme d'acide lactique (qui devient lactase), ce qui va acidifier le milieu dans lequel baigne la cellule cancéreuse.
Pourtant, dans les années 1980 à 2010, le cancer n'est plus considéré comme une maladie du métabolisme, mais comme une maladie génétique.
Dans les années 1950, Szent-Györgyi affirme que l'effet Warburg est une conséquence d'un excès d'électrons, responsables de la prolifération cellulaire, conséquence d'un déséquilibre rédox. Le Bdm capte les électrons et inverse la fermentation cancéreuse. La biologie est beaucoup plus simple qu'il n'y paraît : soit la cellule respire et brûle le glucose, soit elle fermente et se divise. Le métabolisme arrache les électrons et les protons de la molécule de glucose pour les combiner avec l'oxygène et former de l'eau.
Puis, la vision d'ensemble a fait défaut, chaque chercheur étant concentré sur sa spécialité. Les avancées sont difficiles parce qu'elles bousculent les certitudes et déplaisent aux bureaucrates.
L'échec de la guérison du cancer, de la maladie d'Alzheimer ou de tout autre maladie est le signe que le raisonnement est imparfait. Pour traiter ces maladies, il faut changer de grille de lecture.
L'immunothérapie vise à stimuler le système immunitaire pour qu'il attaque de nouvelles proies telles que les cellules cancéreuses.
Sans négliger le rôle des substances cancérigènes, d'origine alimentaire ou autre, de nombreux patients établissent par ailleurs un lien entre le cancer et un traumatisme, qu'il soit professionnel (licenciement ou stress au travail) ou personnel (divorce, deuil, etc.). Ce lien paraît crucial car le stress modifie le métabolisme. Lors d'une crise d'angoisse, le cœur bat plus vite, le rythme cardiaque s'accélère et le métabolisme est perturbé.
Le bleu de Méthylène et le dioxyde de chlore
pour capter les électrons
La découverte du dioxyde de chlore remonte à la révolution française et le Bdm a été synthétisé pour la 1ère fois en 1876. Dans le cancer, Il faut réduire l’excès d'électron responsable de la synthèse tumorale.
Le bleu de méthylène ou chlorure de méthylthioninium, dérivé du benzène peut capter les électrons et les extraire de la cellule pour diminuer la synthèse tumorale. Le traitement par le Bdm a pour but de gagner du temps. Il ne cherche pas à tuer les cellules tumorales mais à les faire respirer. Il ne tue pas non plus les cellules normales.
Le dioxyde de chlore (solution prête à l'emploi : CDS 3000 - Andreas Kalker) aujourd'hui utilisé comme biocide dans de nombreuses applications industrielles de traitement de l'eau, notamment dans les tours de refroidissement, l'eau de traitement et la transformation des aliments. Parallèlement, de nombreux praticiens y ont recours dans les traitements conventionnels du paludisme, des infections torpides ( Qui ne manifeste aucune tendance à l'amélioration ni à l'aggravation) et aujourd'hui, du Covid-19. Le dioxyde de chlore est une molécule très petite qui peut pénétrer dans n'importe qu'elle membrane, mais aussi traverser le biofilm et le mucus avec lesquels les bactéries se défendent.
Acide lipoïque et hydroxycitrate
pour relancer les mitochondries
L'acide alha-lipoïque a été étudié pour la première fois dans les années 1950 et concerne la neuropathie diabétique.
Ces 2 médicaments anciens peuvent relancer l'activité mitochondriale et ralentir la croissance tumorale.
L'efficacité de l'acide lipoïque pour bloquer la croissance tumorale est renforcée quand il est associé a de l'hydroxycitrate. Cette combinaison agit sur des cancers très variés (vessie, côlon, poumon, mélanome, etc.), ce qui montre que les différents cancers constituent en réalité une maladie unique.
Diminution du glucose
pour réduire la source des électrons
Le véritable coupable de l'épidémie de maladies cardiovasculaires et de cancer, c'est le sucre. Mais l'impact de la consommation de glucose ne se limite pas au cancer (cas de diabète, maladies cardiovasculaires ou de la maladie d'Alzheimer se sont envolés). Aujourd'hui, les glucides représentent 60% de nos apports caloriques, contre moins de 20% il y a un siècle. Avec une alimentation riche en sucre, le glucose passe la barrière intestinale et se retrouve en quantité dans le sang juste après le repas. Ce pic de glycémie entraîne la sécrétion d'insuline, une hormone qui stimule la croissance des cellules cancéreuses.
Le régime hypoglucidique : les glucides ne représentent que 20% à 30%.
Le régime cétogène propose une alimentation riche en lipides et pauvre en glucides (moins de 10% des calories) avec pour but d'abaisser la synthèse de l'insuline.
Les sports d'endurance stimulent la respiration cellulaire
Marcher régulièrement ou courir sont des activités qui permettent d'augmenter la libération d'énergie sous forme de chaleur. Le sport stimule la formation de mitochondries et permet à la tumeur de brûler du glucose, ce qui empêche les cellules cancéreuses de se diviser davantage, donc de proliférer.
Protocole du traitement métabolique
page 147/153
Le patient doit tout d'abord s'enquérir du pronostic. S'il est bon, il n'y a aucune raison de modifier le traitement conventionnel. S'il est mauvais, associer le traitement métabolique à un traitement conventionnel peut être une option pertinente. Tous les traitements conventionnels n'ont pas la même toxicité. La combinaison du traitement classique et du traitement conventionnel n'aura de sens que si le patient est suivi de près et que les masses tumorales sont régulièrement mesurées par un examen clinique ou radiologique.
Revenez me rendre visite. Merci pour l'intérêt que vous me portez.